Avec l’arrivée des OPCI (organismes de placement collectif immobilier) les entreprises pourront se concentrer sur leur cœur de métier, tout en bénéficiant des avantages d’une gestion moins lourde et coûteuse tant en ressources humaines que financières.
L’accroissement de la densité urbaine dans les grandes villes et l’effort toujours croissant que doit fournir le collaborateur pour se déplacer de son domicile (de plus en plus en périphérie de la ville) à son lieu de travail, favorise l’émergence de nouveaux modes de travail.
Et enfin, l’épidémie que nous vivons aujourd’hui va servir d’accélérateur pour tous ces phénomènes.
Ceci mettra en évidence, la nécessité d’une gestion des mètres carrés plus conforme aux nouvelles attentes et offrir aux collaborateurs un confort et une utilisation « pratique » au jour le jour.
Au départ, une part allant généralement jusqu’à 20% des effectifs, devrait bénéficier d’un aménagement horaire hebdomadaire contenant, un, deux, voire trois jours en mode télétravail.
Ceci, pourrait se traduire dans l’espace des plateaux bureaux par l’aménagement de zones dites nomades contenant des postes non attribués spécifiquement aux collaborateurs. Ces espaces sont « bookés » en fonction des disponibilités du jour ou de la semaine, par le moyen d’un site dédié par l’entreprise ou d’une application téléphonique dédiée.
Ces zones nomades qui constitueront au début du projet « Flex-Office », une faible proportion de l’ensemble de l’offre de l’employeur, peut devenir de plus en plus importante, pour tous les métiers adaptables à ce mode de fonctionnement.
Sur le foncier, ceci se traduit par un gain en termes d’espace exploité par l’entreprise, puisque, en plus de la vacance crée par l’absence physique de 20% des effectifs qui seront en Télétravail, plusieurs des espaces nomades et collaboratifs, peuvent être mutualisés d’un étage à un autre, par exemple, réduisant ainsi les coûts locatifs à moyen terme.
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